Quelques coutures ont lâché entre vous, mon blog et moi. Des petits points invisibles mais pas trop serrés.
Un poème de Laurence Nobécourt. m’est revenu qui m’a donné envie de venir vous faire un petit coucou :
Au moment où il n’y aura plus de mots pour s’asseoir
nous resterons debout sans phrase pour nous soutenir
Avec entre les mains le fil décousu de nos ourlets sauvages.
Pour ne pas tomber mon petit,
je me recouds chaque jour au grand tissu.
Comme je ne suis pas très douée en couture, je me ramasse souvent par terre mais c’est instructif parait il !
Comme les mots me manquent parfois, je dessine ! Avec Elle
et lui
Nous avons ouvert un atelier associatif . On s’amuse bien. On essaie de mettre un peu de couleur.
Parce que la couleur, on aime ! et puis les fées, et les sorcières, et le mouvement et la couture, euh non pas la couture ! Mais les mots oui, toujours les mots ! et la nature ! Et tant de choses encore que je vais venir vous raconter en zig-zag !
A bientôt !
En route pour les retrouvailles semble-t-il. Je n’y suis pour rien bien sûr mais cela me ferait très plaisir que mon commentaire de mai 2020 devienne une prédiction (pour rire).
Bonjour madame,
Carnets Paresseux vient de réutiliser un verbe au sujet duquel vous aviez dialogué gaiement en 2015, réemployé au sein d’un jeu de l’oie littéraire cette fois-ci (mot d’origine calviniste quasiment, écrit ensuite de nombreuses fois par Huysmans et réinterprété par Thérèse -et son fauteuil- en avril) .
Je vous découvre tous les deux ces temps-ci, peut-être est-ce un signe de retrouvailles épistolaires pour vous ?
Oh c’est chouette, ton coucou et tes mots comme des petits points que j’aime tant 😉 mon cœur s’est emballé quand j’ai lu ton nom m’annonçant ton article. Comme dit Frog « Sympa d’avoir de tes nouvelles ! » 😉 Reviens vite
Coucou Monesille ! Chouette poème ! Sympa d’avoir de tes nouvelles ! 🙂